Les Enjeux du types d'épreuve dans les courses PMU
Les courses de chevaux comprennent deux grands types d'épreuves :
- Les courses de galop
- Les courses de trot
1 - Les courses de galop
Le galop est une allure basculante, sautée, dissymétrique, à trois
temps plus un temps de suspension : postérieur gauche, diagonal gauche,
antérieur droit, suspension. Le galop est l'allure la plus rapide du
cheval.
Les courses de galop peuvent être subdivisées en deux : il existe des courses de plat et des courses d'obstacle.
Les courses de plat
Les courses de plat sont des courses de galop où il n'y a aucun
obstacle à franchir. Les épreuves de plat se déroulent sur des distances
comprises entre 800 et 4000 mètres, la distance classique étant de 2400
mètres.
Les courses d'obstacle
Les courses d'obstacle sont des courses de galop où des obstacles
sont à franchir. Les épreuves d'obstacle se déroulent sur des distances
comprises entre 2800 et 6500 mètres. Parmi les courses d'obstacle, il
est possible de distinguer les courses de haies (obstacles identiques),
steeple chase (au moins quatre obstacles différents) ou cross (obstacles
naturels).
2 - Les courses de trot
Le trot est une allure symétrique et sautée à deux temps égaux.
L'antérieur gauche et le postérieur droit, puis l'antérieur droit et le
postérieur gauche du cheval, prennent appuis au sol en même temps et
ainsi de suite.
Les courses de trot peuvent être subdivisées en deux : les courses montées et les attelées.
Les courses au trot monté
Les courses montées sont des courses de trot où le jockey se trouve
sur le dos du cheval. Les courses montées se déroulent sur des distances
comprises entre 1800 et 3000 mètres
Les courses au trot attelé
Les courses attelées sont des courses de trot où le driver se trouve
sur un sulky attaché au cheval. Les courses attelées se déroulent sur
des distances comprises entre 1600 et 4100 mètres, les parcours les plus
utilisées sont ceux dont la distance est comprise entre 2100 et 2800
mètres. Un hippodrome est un circuit dévolu au
sport hippique. Des gradins sont disposés aux abords de la piste pour
accueillir les spectateurs.
LES HIPPODROMES
Les courses de chevaux perdurent de la fin de Moyen Âge aux débuts de
l'ère moderne en France, en Italie et en Angleterre principalement, mais
les premières courses de chevaux modernes se tiennent à Paris le 15 mai
1651 en présence de Louis XIV et du futur Charles II d'Angleterre.
Il faut toutefois attendre le 20 avril
1776 pour assister à l'inauguration du premier hippodrome permanent à
Paris dans la plaine des Sablons (Neuilly). Les hippodromes permanents
se multiplient au XIXe siècle, tout d'abord en France, en Italie et en
Angleterre.
La France détient, de loin, le record du monde en nombre d'hippodromes
avec plus de 250 hippodromes répertoriés, soit la moitié de l'ensemble
des hippodromes européens.
LE JEU SIMPLE
Pour
jouer au simple, il suffit de désigner un cheval. On peut jouer au
simple gagnant ( il faut trouver le gagnant d'une épreuve ) ou au simple
placé ( trouver l'un des 3 premiers chevaux faisant l'arrivée pour les
courses de 8 chevaux et plus ) ou l'un des 2 premiers chevaux pour les
courses de moins de 8 chevaux.
une
cote sera affichée qui correspond aux faveurs des parieurs et aux
chances des chevaux. Plus , la cote sera petite plus les parieurs jouent
le cheval dans l'arrivée ( on parle de favoris ). Plus la cote sera
forte moins de parieurs voient ces chevaux dans les 3 premiers et on
parle d'outsider
LE COUPLE
IL FAUT DESIGNER 2 CHEVAUX.
IL EXISTE 3 MANIÉRÉS DE JOUER
* LE COUPLE GAGNANT : LE PARIEUR DOIT TROUVER LES 2 PREMIERS CHEVAUX QUELQUE SOIT L'ORDRE ( COURSES DE 8 PARTANTS ET PLUS )
* LE COUPLE PLACE : LE PARIEUR DOIT TROUVER 2 DES 3 PREMIERS CHEVAUX A L’ARRIVÉE ( COURSES DE 8 PARTANTS ET PLUS )
*
LE COUPLE ORDRE : LE PARIEUR DOIT TROUVER LES 2 PREMIERS CHEVAUX A
L’ARRIVÉE DANS L’ORDRE EXACT DU CLASSEMENT. ( COURSES DE 4 CHEVAUX ET
PLUS)
LE 2 SUR 4
IL FAUT TROUVER 2 DES 4 PREMIERS CHEVAUX FAISANT L’ARRIVÉE.
IL EXISTE UN RAPPORT UNIQUE POUR LES 6 COMBINAISONS POSSIBLES = LE RAPPORT 2 SUR 4
LA MISE DE BASE EST DE 3 €
LE MAXIMUM D'ENJEUX : 100 FOIS LA MISE DE BASE.
FRÉQUENCE DU JEUX : LA POSSIBILITÉ DE JEU 2 SUR 4 EST INDIQUÉE SUR LES ÉPREUVES CONCERNÉES PAR LE LOGO"2 SUR 4"
Au PMU, il est primordial de bien choisir les chevaux. Avec une
bonne sélection, les chances de trouver la bonne combinaison seront
plus grandes. Ensuite, il faut déterminer le type de jeu: couplés
gagnants ou quintés,... car il est plus difficile de trouver les 5
chevaux du quinté que les 2 chevaux d'un couplé. Pour y arriver, le PMU
propose de nombreuses variétés de jeux, combinaisons ou champs. Enfin,
il est possible de faire varier les mises en fonction des résultats
obtenus dans les jeux précédents, c'est ce que nous appelons les mises
raisonnées.
La première opération consiste à sélectionner les chevaux et c’est
l’objectif premier de nos publications. Ensuite, il faut déterminer
comment jouer ces chevaux, avec quels types de jeux.
En effet, le
choix du jeu n’est pas neutre, car l’importance du hasard va croissant,
du jeu simple placé au quinté, en passant par le “2 sur 4”, le jeu
simple gagnant, le couplé placé, le couplé gagnant, le trio, le tiercé
et le quarté. Il ne faut surtout pas rejeter d’office le trio ou le “2
sur 4”, apparemment délaissés si on regarde les chiffres du PMU, car ces
jeux ont leurs fidèles, bien que discrets! C’est toujours le même
principe, sachant que l’on ne gagne que ce que les autres perdent. Il
faut trouver le bon équilibre entre les jeux dont les mises globales
sont importantes mais qui sont difficiles à déchiffrer comme le quinté,
et ceux qui recueillent moins de mises, mais plus faciles et donc à
rapports plus réguliers. Encore faut-il tenir compte des combinaisons
retenues car, certains tickets demandent des mises trop élevées, compte
tenu des gains potentiels. Par exemple il faut éviter le “2 sur 4” en
champ total ou en combinaisons et préférer les champs réduits. Ainsi, le
choix du jeu est primordial, mais la combinaison retenue pour le jeu
l’est également. Il est préférable de retenir les jeux simples, les
couplés ou même les tiercés en HS, compte tenu qu’il est plus facile de
trouver 1 ou 2 chevaux que 5. Si l’on opte pour le quinté, qui est un
mode de pari très aléatoire, il est nécessaire alors d’utiliser des
systèmes de jeux réducteurs (champs réduits par exemple); dans ce cas,
les rentrées seront moins régulières. Miser peu n’est pas forcément
incompatible avec des gains importants.
Il peut être intéressant de jouer certaines courses et pas d’autres.
Les classiques ont généralement des arrivées logiques alors que les
réclames sont plus aléatoires. Tout l’art est de savoir éviter les
épreuves, soit trop faciles, soit trop hasardeuses. Jouer lorsque les
parieurs sont peu nombreux, comme le 1er Janvier, ou lorsque l’événement
bénéficie d’une cagnotte, est également une stratégie intéressante. Il
faut également être très méfiant lors des intersaisons, lorsqu’une
spécialité débute ou s’achève, la préparation des chevaux est plus ou
moins bien connue et certains sont physiquement déclinants en fin de
saison, malgré de bons résultats auparavant. Les événements (Tiercés,
Quartés+, Quintés+) sont les courses les plus analysées statistiquement,
car elles attirent un maximum de parieurs, ce qui augmente les enjeux
et les rapports, ...lorsque tout le monde ne joue pas le même pronostic!
Enfin, choisir le montant de la mise n'est pas à négliger et, faire
varier celle-ci en fonction des résultats précédents, peut se révéler
très efficace en terme de rentabilité.
Les 3 exemples suivants vous en démontrent tout l'intérêt.